
En Lorraine, à l’exception de l’aéronautique, le secteur de l’industrie continue de rechercher des collaborateurs, notamment dans des domaines comme l’intelligence artificielle ou les datas. Il y aurait en France un sous-effectif de 4 % d’ingénieurs spécialisés, soit un manque à gagner d’un milliard d’euros. Cette tendance s’explique par le fait que contrairement au tertiaire, le secondaire a poursuivi son activité durant le deuxième confinement. D’autre part, certains estiment qu’un mouvement de fond est en train de se dessiner avec une relocalisation en France des appareils de production industriels.